Pour nos ancêtres, s’éloigner de la caverne était dangereux.  Ils ne savaient pas ce à quoi s’attendre s’ils sortaient à l’extérieur.  Ils avaient peur de l’extérieur, donc peur de l’inconnu.  Pourquoi avons-nous peur de l’inconnu?  D’une part parce que l’inconnu comporte une peur sans limite et, d’autre part, parce qu’il provoque un changement.  

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La peur de l’inconnu

Premièrement, l’inconnu fait peur parce que nous ne connaissons pas  sa limite.  Nous imaginons toujours le pire scénario.  Par exemple, la première fois qu’on s’embarque sur un manège on a peur de tomber du siège, on a peur que tout s’effondre.  On imagine plusieurs scénarios désastreux.  Par contre, si on est confortable et on connait bien ce qu’on fait, on a moins peur.  En d’autres mots, on a une peur avec limite parce qu’on est à l’aise avec l’activité qu’on effectue.  

Donc, la prochaine fois qu’on s’embarque sur le méninge on saura qu’il n’y a pas de quoi s’effrayer.   Deuxièmement, l’inconnu fait peur parce qu’il apporte un changement dans notre vie.  Une nouvelle activité peut être effrayante pour quelqu’un qui est moins aventuriste ou pas aventuriste du tout.  Ceci peut influencé par le milieu dans lequel on a grandi.  Si ton entourage était du type aventuriste et téméraire, il y ait de bonnes chances que tu le soit aussi et vice-versa.  

Bref, la peur de l’inconnu vient du fait que nous ne savons pas ce à quoi nous attendre et du fait que ça peut provoquer un changement dans la vie. Qui, spontanément réfléchit au bien fondé et au pourquoi de ses actes quand tout va bien ? Spontanément ? Pas grand monde.. Quand la vie est un long fleuve tranquille où tout coule de source (ou presque !), les interrogations existentielles ne semblent pas être le propre de l’homme. Et même quand çà va moins bien, il est démontré qu’on possède des capacités énormes à vivre avec nos conflits, nos incohérences et même une bonne dose de mal-être.

Parmi les moyens les plus répandus qui contribuent à nous faire accepter ces contraintes, deux semblent exceller :

-le premier constitue en une rationalisation après coup de nos actions même les plus involontaires, automatiques, néfastes ou incohérentes auxquelles on va trouver une excellente raison logique tendant à prouver que c’était la seule solution possible. Une telle attitude venant d’une autre personne nous semblerait le comble de la mauvaise foi, de nous, ça paraît logique !

-le second est de projeter sur l’extérieur la cause de nos problèmes : l’autre quel qu’il soit, conjoint, enfant, parent, supérieur, etc.ou de manière plus large, la malchance, la fatalité, le destin. Autre croyance profondément enracinée : celle du caractère. On est malchanceux, timide, nerveux, timoré, etc, etc.de la même manière qu’on a le nez aquilin ou les yeux marron, une fois pour toutes .

C’est comme une caractéristique figée de notre être qui nous détermine à vie dans une certaine catégorie d’individus.  

En conclusion, en marketing de réseau nous avons aussi la  peur de l’inconnu qui vient du fait que nous ne connaissons pas ou très peux et de façon erronée parfois on se dit qu’il à sa limite et qu’il provoque  un changement.  Certaines personnes ont plus de facilité que d’autres à vaincre cette peur.  Si un jour nous pouvons prédire l’avenir, il n’y aurait plus d’inconnu. j’ai un  exemples personnel je suis aller me faire opérer les yeux pour la myopie en Turquie ! oui vous avez bien lu en Turquie ? la aussi nous avons la peur de l’inconnu simplement parce que on ne connaît pas , parfois il faut se pousser pour y aller c’est comme le Marketing de réseau il faut y aller …

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